EESC ET LE FORUM EUROPEEN DE CITOYENS RECLAMENT PLUS DE SOLIDARITE POUR ABORDER LA CRISE FINANCIERE ET SOCIALE D'AUJOURD'HUI

04/11/2008: Avec une conférence recueillant le 29 octobre 2008 ensemble des organismes de société civile et des établissements d'UE, l'EESC a apporté à Bruxelles le message fort qui avait émergé du forum européen de citoyens, jugé juin passé dans Wrocław, la Pologne : afin de combattre la crise financière et économique nous avons besoin de plus de solidarité.

Le titre de la conférence a explicitement parlé d'une Europe de la solidarité en tant que notre défi pour le demain. Le nouveau président de la section d'EESC pour des affaires sociales, l'emploi et la citoyenneté, Leila Kurki (groupe de FI/Employees), a souligné : « Une politique sociale qui encourage la solidarité n'est pas un luxe ; c'est une nécessité. La solidarité est notre succès européen commun et doit devenir une réponse à nos problèmes européens communs ». Au moment où, la question pressante est comment rassembler le courage des propositions formulées par les organismes de société civile pour montrer plus de solidarité à toutes les étapes avec la timidité et la modestie de l'action de la part des établissements publics.

Les participants à de diverses occasions ont accentué que la solidarité peut être analysée à plusieurs niveaux : solidarité parmi des citoyens, solidarité parmi les établissements qui doivent joindre leurs efforts d'améliorer des défis de mondialisation de réponse, mais, surtout, solidarité parmi des générations. En tant que président de l'intergroup de famille du Parlement européen, Mme Panayotopoulos-Cassioutou a précisé : « De nos jours la société ne peut pas se développer sans valeurs humaines et sans solidarité. La crise courante la met davantage dans l'évidence maintenant que jamais. Le premier endroit où ces valeurs peuvent être apprises et développées est la famille ». Les familles sont la clef pour le développement des sociétés mutuellement de support et socialement équilibrées. Néanmoins, les familles, particulièrement pauvres ceux, sont les premières victimes de la crise économique, et car un tel besoin d'être aidé.

Mais la solidarité ne découle pas automatiquement de la croissance économique ; elle exige l'engagement fort et l'action. Pendant un temps très long la famille n'a eu aucun appui des services publics. La crise économique d'aujourd'hui et les difficultés sociales prouvent que les services publics devraient adopter des politiques spécifiques en faveur du famille.

Celles-ci doivent converger dans un dosage des politiques macroéconomiques qui implique l'aide financière, davantage et de meilleurs services tels que des soins des enfants, et des arrangements de temps de travail pour permettre un équilibre entre le famille et la vie professionnelle. Un exemple mentionné par plusieurs participants était la réduction de TVA sur les marchandises enfant-connexes. Le Conseil de Ministres, qui discute à l'heure actuelle une proposition de la Commission pour la réduire, a été fortement invité à adopter le texte de la proposition pendant qu'elle se tient maintenant.

Source : EESC