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2010 - 2014: NOUVELLE STRATEGIE EUROPEENNE POUR LA PROTECTION DES DROITS DE L'ENFANT

13/02/2009: L'Union européenne élabore une stratégie en matière de protection des droits des enfants sur son territoire, à travers ses politiques internes et externes.
A ce titre, Marie Panayotopoulos - Cassiotou (PPE-DE, GR) a interpellé la Commission européenne sur le succès des efforts en matière de protection des droits de l'enfant et a demandé quels sont les droits reconnus sur le territoire européen à l'embryon - l'enfant non né- en bonne santé ou handicapé, et de quelle façon ceux-ci sont appliqués.
Dans une réponse écrite, la Commission a affirmé que "depuis l'adoption de la Communication de 2006 "Vers une stratégie européenne sur les droits de l’enfant", la Commission s'est engagée à intervenir avec des actions concrètes afin de lutter contre toute violation des droits des enfants. La Communication prévoit la présentation d'une stratégie européenne 2010-2014. Une consultation est déjà en cours.
L'action européenne est axée sur la prise en compte des droits des enfants dans toutes les politiques de l'Union européenne et aux initiatives concrètes dans les domaines de compétence de l'Union.
La Charte des Droits fondamentaux de l'Union européenne garantit le principe de l'inviolabilité de la dignité humaine. La détermination de la pertinence entre le principe de l'inviolabilité de la dignité humaine et de l'embryon et la détermination de sa personnalité juridique relève de la compétence des Etats membres".
La Commission a déclaré en guise de conclusion que l'Union européenne n'avait aucune compétence en la matière.

Pour toute information:
Tél.: +32-2-2847447 - fax: +32-2-2849447
E-mail: marie.panayotopoulos-cassiotou@europarl.europa.eu

L'AMELIORATION DE LA SITUATION DES JEUNES SUR LE MARCHE DE L'EMPLOI: UNE QUESTION DE PRIORITE POUR L'UNION EUROPEENNE

19/09/2008: "Lancée par le Groupe de Travail B et organisée par Marie Panayotopoulos -Cassiotou (MPE-GR membre de la commission emploi et affaires sociales du PE), l'audition publique sur les politiques d'emploi pour les jeunes a réuni au PE de nombreux parlementaires, responsables des organes et de la Présidence française, représentants des associations de jeunesse européenne, et des organisations des employeurs et entrepreneurs.

Présidée par Marie Panayotopoulos-Cassiotou, la séance a débuté par l'allocation d'ouverture de la Vice-présidente du Parlement européen, Rodi Kratsa-Tsagaropoulou.

Ines Prainsack, du Forum Européen de la Jeunesse et Yannis Smirlis, Président des Jeunes du PPE (YEPP) ont rappelé que les résultats de la Stratégie de Lisbonne renouvelée sont attendus avec impatience par les jeunes. L'enthousiasme des jeunes, facteur clé pour le succès de l'Union, peut selon eux, être soutenu par des mesures peu couteuses, comme l'intensification des échanges des jeunes autant au niveau universitaire que professionnel.

Les représentants de la Commission, Christiane Westphal de la DG Emploi et Affaires Sociales et Sylvie Vlandas de la DG Education et Culture, rejointes par Marie-Claire Petit-Perrin de la Présidence française (RP France) ont à leur tour présenté les propositions communautaires en cours concernant l'assurance de qualité dans la formation professionnelle (ENQAVET), les systèmes de crédits d'apprentissage ECTS et ECVET et la proposition de la mobilité des jeunes par la simplification des procédures, la diversification du financement et l'amélioration des politiques d'accueil.

Identifiant le problème du pessimisme et de l'insécurité des jeunes en périodes de "passage", elles ont laissé espérer que l'approche de la flexicurité à la façon de chaque état membre éliminera le paradoxe de l'existence parallèle de nombreux nouveaux postes de travail et d'un taux de chômage des jeunes exorbitant. Le pacte Européen de la Jeunesse, conclu en 2005 par le Conseil laisse espérer des résultats concrets dans chaque région européenne, d'ici 2009, date de première évaluation.

L'esprit d'entreprise et le développement de nouvelles compétences constituent un facteur important pour stimuler l'employabilité des jeunes, a suggéré Maxime Cerutti de La Confédération des Entreprises Européennes, BusinessEurope et a présenté le développement de partenariats sociaux comme étant un élément déterminant pour la mise en valeur des compétences des jeunes. A cet effet, les entreprises reposent en grande partie sur le système universitaire en tant que 'fournisseur' de capital humain et pour cela il est indispensable d'améliorer la validation des acquis mais aussi la qualité de l'orientation chez les jeunes dès le secondaire. Les résultats des travaux de la Commission concernant la qualité des stages sont alors vivement attendus.

En complément des diverses politiques communautaires, la Confédération Européenne des Entreprises Juniors, JADE, représenté par son Vice-président Florent Barel a évoqué l'atout principal de sa raison d'être, à savoir l'acquisition de compétences clés dès la période étudiante en créant des entreprises juniors dans le but de rallier théorie et pratique. Un soutien plus important de la part des institutions financières a été parallèlement demandé.

"Le travail en commun de tous les acteurs sociaux doit nous permettre de renforcer l'employabilité, la mobilité et la formation professionnelle des jeunes. Il appartient donc à nous tous les politiques de concentrer nos efforts afin d'atteindre ces objectifs pour ne pas décevoir leur espoir et leurs aspirations", a conclu Mme Panayotopoulos.

Pour plus d'information:
Marie Panayotopoulos-Cassiotou, MdPE
Tél.: +32-2-2847447 fax: +32-2-2849447
e-mail: marie.panayotopoulos-cassiotou@europarl.europa.eu

Notes aux Editeurs:
Avec 288 Membres, le Groupe du PPE-DE est de loin le Groupe politique le plus important du Parlement européen, et le seul qui rassemble des Députés européens issus des 27 pays membres de l'Union européenne.

LE BUDGET GENERAL DE L'UE POUR L'EXERCICE 2009

11/09/2008: La promotion des projets pilotes au sein de la commission FEMM par Mme Marie Panayotopoulos-Cassiotou (PPE-DE, GR)

Mardi 9 septembre 2008 a été adopté à l'unanimité par la commission 'droits des femmes et égalité des genres' le projet d'avis sur le budget général de l'Union européenne pour l'exercice 2009.

Les amendements votés de Marie Panayotopoulos-Cassiotou (GR,PPE-DE), rapporteur fictif, concernent:
  • l'application horizontale du principe d'égalité dans l'ensemble du programme PROGRESS (emploi, protection et inclusion sociales, conditions de travail, non-discrimination et diversité);
  • la demande de révision du budget alloué aux ressources humaines responsables de l'évaluation des projets dans le cadre du programme Daphné III (Lutte contre la violence) à des fins d'accroissement de son efficacité;
  • un recours plus important des Etats membres à l'utilisation des Fonds Structurels aux politiques de promotion de l'égalité entre les femmes et les hommes et la répartition plus équitable des lignes budgétaires afin d'assurer une meilleure promotion du principe d'égalité sont quelques unes des propositions de la députée grecque figurant dans le texte final tel qu'adopté.
S'intéressant tout particulièrement au sort des enfants et adultes souffrant de troubles 'dys' (dyslexie, dyspraxie, dyscalculie, dysphasie, troubles de l'attention avec ou sans hyperactivité) et de handicaps, la députée a défendu avec succès le maintien des lignes budgétaires affectées au développement des politiques en faveur de ces personnes, en particulier en vue d'un soutien envers la jeunesse et les parents.

Mme Panayotopoulos-Cassiotou a réussi à transformer utilement le texte dans des sujets tels que la solidarité intergénérationnelle, le rôle de l'homme dans l'éducation des enfants, la conciliation de la vie de famille et la vie professionnelle et la reconnaissance du travail informel de la femme afin de mettre en valeur la valeur économique de ce travail.

Elle a présenté un projet pilote, adopté par les membres, qui vise à la mise en place d'un financement afin d'assurer un meilleur soutien des éducateurs et des parents des personnes souffrant de troubles 'dys', dans le respect de l'égalité des chances entre femmes et hommes.

Les moyens définis par le projet pilote afin d'atteindre cet objectif est de favoriser la prise de conscience des inégalités persistantes entre les personnes qui souffrent de troubles 'dys', de la discrimination à l'encontre des proches et des parents des personnes 'dys' et de la nécessité de sensibiliser l'opinion publique au sujet des troubles 'dys', des échanges de bonnes pratiques et de la coopération entre organisations dans le domaine des 'dys'.

Pour toute information:
Marie Panayotopoulos-Cassiotou
Tél.: +32-2-2847447, Fax.: +32-2-2849447
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Avec 288 Membres, le Groupe du PPE-DE est de loin le Groupe politique le plus important du Parlement européen, et le seul qui rassemble des Députés européens issus des 27 pays membres de l'Union européenne.

L’IMPORTANCE ACCORDEE A LA FAMILLE DANS LES POLITIQUES COMMUNAUTAIRES ET DANS LA CONSTITUTION EUROPEENNE

16/05/2006: À l’occasion de la Journée mondiale de la famille et se référant à la version actuelle de la Constitution européenne, la députée européenne Marie Panayotopoulos-Cassiotou a insisté sur la nécessité d’apporter un plus grand soutien européen à la famille, au moyen d’une référence constitutionnelle concrète à l’importance de cette institution. S’adressant hier à la séance plénière du Parlement européen à Strasbourg, la députée européenne grecque a notamment déclaré :

"En vue de raviver l’intérêt pour une ratification du traité constitutionnel européen, il serait sans doute opportun d’en adapter le texte de sorte qu’il protège des institutions qui sont les fondements de la civilisation européenne et de l’économie européenne.
Nous célébrons aujourd’hui la Journée mondiale de la famille et constatons à cette occasion que l’immense majorité des femmes et hommes européens continue à fonder des foyers, à protéger l’institution de la famille et à en tirer profit. Les minorités ne doivent pas altérer nos choix.
Il va de soi que la politique familiale doit demeurer du ressort des États membres. Toutefois, la prise en considération d’une dimension familiale dans le cadre des politiques communautaires contribuera à la cohésion de la société et à une compétitivité accrue, tout en limitant des problèmes socio-économiques tels le chômage, la pauvreté ou le manque de productivité.
Au-delà de l’égalité des femmes et des hommes, au-delà des droits de l’enfant, il est nécessaire de reconnaître les difficultés que rencontre la famille, dès sa formation puis dans son évolution : il s’agit en effet des causes essentielles de la crise démographique en Europe.
Pour être accepté par les citoyens européens, le Traité constitutionnel doit accorder la plus grande importance à la famille et aux valeurs traditionnelles européennes."