L'EUROPE CONTRE LA PAUVRETE ET L'EXCLUSION SOCIALE

26/09/2008: Déclaration de la députée européenne Marie Panayotopoulos - Cassiotou, membre de la commission emploi du Parlement EuropéenConcernant la décision prise à une majorité écrasante lors de la Session Plénière de juin 2008 (17.06.2008), d'établir l’année 2010 comme l’Année européenne de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale, la députée européenne, Marie Panayotopoulos - Cassiotou, rapporteur du Parlement européen, a déclaré le contentement du PE, après l'acceptation finale de la part du Conseil. Après l'issue positive des tractations tripartites et la satisfaction des exigences du Parlement Européen, le texte final contient la déclaration ci-dessous de la Commission, fondamentale pour la réalisation des objectifs:"
La Commission attache la plus haute importance à ce qu'une large participation, à tous les niveaux, aux activités de l'Année européenne de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale (2010) soit facilitée et soutenue afin qu'elle devienne un instrument dont l'impact sera positif et durable. Conformément à la décision relative à l'année européenne, la Commission élaborera, dans le document-cadre stratégique, des orientations communes qui définiront les principales priorités en vue de la réalisation des activités de l'année européenne, dont des normes minimales relatives à la participation des organismes nationaux et aux actions. Le document-cadre stratégique est destiné aux organismes nationaux d'exécution chargés de définir les programmes nationaux de l'année européenne et de sélectionner les actions qui seront proposées en vue d'un financement communautaire. Il s'adresse également aux autres parties prenantes. Dans ce contexte, la Commission soulignera à quel point il est essentiel de faciliter l'accès à toutes les ONG, y compris les petites et moyennes organisations. Afin de garantir l'accès le plus large possible, les organismes nationaux d'exécution peuvent décider de ne pas solliciter de cofinancement et, au lieu de cela, de financer l'intégralité de certaines actions.
"Il convient de rappeler que, selon le Rapport de Mme Panayotopoulos - Cassiotou, la contribution communautaire aux activités s'élevant à 17 millions d'euros, sera renforcée par la participation des organes exécutifs nationaux, dans le but de créer des structures de prévention contre le dénuement et la marginalisation, et de mettre en œuvre des projets efficaces pour la gestion des crises.
"Dans ce cadre européen, les actions du gouvernement grec concernant les mesures de protection des foyers les plus indigents, l'amélioration des conditions de vie et d'éducation et la création du Fonds contre la pauvreté, constituent des exemples très intéressants", a déclaré Mme Panayotopoulos - Cassiotou.
La lutte contre la pauvreté constitue une priorité pour la Présidence française, qui s'intéresse particulièrement à la garantie de conditions de vie équitables, à l'intégration sociale des groupes fragiles mais aussi à l'accès des citoyens aux services sociaux.

L'AMELIORATION DE LA SITUATION DES JEUNES SUR LE MARCHE DE L'EMPLOI: UNE QUESTION DE PRIORITE POUR L'UNION EUROPEENNE

19/09/2008: "Lancée par le Groupe de Travail B et organisée par Marie Panayotopoulos -Cassiotou (MPE-GR membre de la commission emploi et affaires sociales du PE), l'audition publique sur les politiques d'emploi pour les jeunes a réuni au PE de nombreux parlementaires, responsables des organes et de la Présidence française, représentants des associations de jeunesse européenne, et des organisations des employeurs et entrepreneurs.

Présidée par Marie Panayotopoulos-Cassiotou, la séance a débuté par l'allocation d'ouverture de la Vice-présidente du Parlement européen, Rodi Kratsa-Tsagaropoulou.

Ines Prainsack, du Forum Européen de la Jeunesse et Yannis Smirlis, Président des Jeunes du PPE (YEPP) ont rappelé que les résultats de la Stratégie de Lisbonne renouvelée sont attendus avec impatience par les jeunes. L'enthousiasme des jeunes, facteur clé pour le succès de l'Union, peut selon eux, être soutenu par des mesures peu couteuses, comme l'intensification des échanges des jeunes autant au niveau universitaire que professionnel.

Les représentants de la Commission, Christiane Westphal de la DG Emploi et Affaires Sociales et Sylvie Vlandas de la DG Education et Culture, rejointes par Marie-Claire Petit-Perrin de la Présidence française (RP France) ont à leur tour présenté les propositions communautaires en cours concernant l'assurance de qualité dans la formation professionnelle (ENQAVET), les systèmes de crédits d'apprentissage ECTS et ECVET et la proposition de la mobilité des jeunes par la simplification des procédures, la diversification du financement et l'amélioration des politiques d'accueil.

Identifiant le problème du pessimisme et de l'insécurité des jeunes en périodes de "passage", elles ont laissé espérer que l'approche de la flexicurité à la façon de chaque état membre éliminera le paradoxe de l'existence parallèle de nombreux nouveaux postes de travail et d'un taux de chômage des jeunes exorbitant. Le pacte Européen de la Jeunesse, conclu en 2005 par le Conseil laisse espérer des résultats concrets dans chaque région européenne, d'ici 2009, date de première évaluation.

L'esprit d'entreprise et le développement de nouvelles compétences constituent un facteur important pour stimuler l'employabilité des jeunes, a suggéré Maxime Cerutti de La Confédération des Entreprises Européennes, BusinessEurope et a présenté le développement de partenariats sociaux comme étant un élément déterminant pour la mise en valeur des compétences des jeunes. A cet effet, les entreprises reposent en grande partie sur le système universitaire en tant que 'fournisseur' de capital humain et pour cela il est indispensable d'améliorer la validation des acquis mais aussi la qualité de l'orientation chez les jeunes dès le secondaire. Les résultats des travaux de la Commission concernant la qualité des stages sont alors vivement attendus.

En complément des diverses politiques communautaires, la Confédération Européenne des Entreprises Juniors, JADE, représenté par son Vice-président Florent Barel a évoqué l'atout principal de sa raison d'être, à savoir l'acquisition de compétences clés dès la période étudiante en créant des entreprises juniors dans le but de rallier théorie et pratique. Un soutien plus important de la part des institutions financières a été parallèlement demandé.

"Le travail en commun de tous les acteurs sociaux doit nous permettre de renforcer l'employabilité, la mobilité et la formation professionnelle des jeunes. Il appartient donc à nous tous les politiques de concentrer nos efforts afin d'atteindre ces objectifs pour ne pas décevoir leur espoir et leurs aspirations", a conclu Mme Panayotopoulos.

Pour plus d'information:
Marie Panayotopoulos-Cassiotou, MdPE
Tél.: +32-2-2847447 fax: +32-2-2849447
e-mail: marie.panayotopoulos-cassiotou@europarl.europa.eu

Notes aux Editeurs:
Avec 288 Membres, le Groupe du PPE-DE est de loin le Groupe politique le plus important du Parlement européen, et le seul qui rassemble des Députés européens issus des 27 pays membres de l'Union européenne.

LE BUDGET GENERAL DE L'UE POUR L'EXERCICE 2009

11/09/2008: La promotion des projets pilotes au sein de la commission FEMM par Mme Marie Panayotopoulos-Cassiotou (PPE-DE, GR)

Mardi 9 septembre 2008 a été adopté à l'unanimité par la commission 'droits des femmes et égalité des genres' le projet d'avis sur le budget général de l'Union européenne pour l'exercice 2009.

Les amendements votés de Marie Panayotopoulos-Cassiotou (GR,PPE-DE), rapporteur fictif, concernent:
  • l'application horizontale du principe d'égalité dans l'ensemble du programme PROGRESS (emploi, protection et inclusion sociales, conditions de travail, non-discrimination et diversité);
  • la demande de révision du budget alloué aux ressources humaines responsables de l'évaluation des projets dans le cadre du programme Daphné III (Lutte contre la violence) à des fins d'accroissement de son efficacité;
  • un recours plus important des Etats membres à l'utilisation des Fonds Structurels aux politiques de promotion de l'égalité entre les femmes et les hommes et la répartition plus équitable des lignes budgétaires afin d'assurer une meilleure promotion du principe d'égalité sont quelques unes des propositions de la députée grecque figurant dans le texte final tel qu'adopté.
S'intéressant tout particulièrement au sort des enfants et adultes souffrant de troubles 'dys' (dyslexie, dyspraxie, dyscalculie, dysphasie, troubles de l'attention avec ou sans hyperactivité) et de handicaps, la députée a défendu avec succès le maintien des lignes budgétaires affectées au développement des politiques en faveur de ces personnes, en particulier en vue d'un soutien envers la jeunesse et les parents.

Mme Panayotopoulos-Cassiotou a réussi à transformer utilement le texte dans des sujets tels que la solidarité intergénérationnelle, le rôle de l'homme dans l'éducation des enfants, la conciliation de la vie de famille et la vie professionnelle et la reconnaissance du travail informel de la femme afin de mettre en valeur la valeur économique de ce travail.

Elle a présenté un projet pilote, adopté par les membres, qui vise à la mise en place d'un financement afin d'assurer un meilleur soutien des éducateurs et des parents des personnes souffrant de troubles 'dys', dans le respect de l'égalité des chances entre femmes et hommes.

Les moyens définis par le projet pilote afin d'atteindre cet objectif est de favoriser la prise de conscience des inégalités persistantes entre les personnes qui souffrent de troubles 'dys', de la discrimination à l'encontre des proches et des parents des personnes 'dys' et de la nécessité de sensibiliser l'opinion publique au sujet des troubles 'dys', des échanges de bonnes pratiques et de la coopération entre organisations dans le domaine des 'dys'.

Pour toute information:
Marie Panayotopoulos-Cassiotou
Tél.: +32-2-2847447, Fax.: +32-2-2849447
e-mail: marie.panayotopoulos-cassiotou@europarl.europa.eu

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LA PROMOTION DE LA SECURITE DES JOUETS PAR L'UNION EUROPEENNE

05/09/2008: L'Intergroupe Famille et Protection de l'Enfance du Parlement européen, présidé par la députée Marie Panayotopoulos-Cassiotou (PPE-DE, GR), avec la collaboration active du Vice-président José Ribeiro e Castro et l'aimable soutien de l'Intergroupe des petites et moyennes entreprises, s'est réuni lors de la session plénière à Bruxelles jeudi 4 septembre 2008, autour de la question de la révision de la directive 88/378/CEE concernant le rapprochement des législations des Etats membres relatives à la sécurité des jouets.

Parmi les intervenants, Mme M. Van Rijn, Secrétaire générale d'ORNES (Organisation des fournisseurs de jouets hollandais) et la Fondation 'SpeelGoed' (Pays-Bas), a souligné l'importance du jeu dans l'éducation de l'enfant, offrant une vision pédagogique à la réunion. Le jeu va permettre à l'enfant de développer son comportement, ses fonctions motrices et forger sa personnalité. Il est donc essentiel que les jouets soient sûrs et sécurisés afin que l'enfant les utilise avec un maximum de protection.

Mme M. Logghe, responsable du dossier 'Sécurité des jouets' au sein de la DG Entreprise de la Commission européenne, a présenté la proposition de la Commission, qui renforce les exigences de sécurité des jouets mais aussi les obligations de surveillance des marchés, des fabricants et des fournisseurs. C'est donc dans ce cadre qu'un projet de rapport a été déposé par la députée belge du Groupe du PPE-DE Marianne Thyssen au sein de la commission du marché intérieur et de la protection du consommateur (IMCO) du Parlement européen.

M. D. Srivens, membre de la 'Toys Industries of Europe' a quant à lui présenté la vision de l'industrie relative à la sécurité du jouet, approuvant l'approche de la Commission en ce qui concerne les substances dangereuses, tout en expliquant les contraintes croissantes auxquelles son secteur doit faire face.

Un débat a fait ressortir la position des députés PPE-DE siégeant à la commission IMCO, ainsi que la vision des organisations familiales et de protection des consommateurs présentes à la réunion. Des critiques ont été adressées à l'encontre de la marque CE, dorénavant obligatoire et visible sur les emballages, qui prête souvent à confusion car son apposition est effectuée non pas par un organisme indépendant mais par les fabricants eux-mêmes.

De plus, la question de la responsabilité du fabricant a été soulevée en cas d'accident avec un jouet, laissant ainsi en suspens le problème de recensement des accidents provoqués aux enfants par les jouets au sein de l'Union européenne.

En conclusion, Mme Panayotopoulos-Cassiotou a remarqué que les jouets contribuent à l'éducation et à la formation des enfants, et à l'évolution de leur comportement et caractère. Il est essentiel que ceux-ci respectent toutes les normes de sécurité existantes afin que la protection des enfants soit garantie dans la mesure du possible. La députée a souhaité que le marché européen du jouet, produit en Europe ou importé, donne l'exemple au niveau mondial en matière de normes de sécurité.


Plus d'informations:
Marie Panayotopoulos-Cassiotou
Tél.: +32-2-2847447 - Fax: +32-2-2849447

Notes aux Editeurs:
Avec 288 Membres, le Groupe du PPE-DE est de loin le Groupe politique le plus important du Parlement européen, et le seul qui rassemble des Députés européens issus des 27 pays membres de l'Union européenne.

MEASURES TO IMPROVE EQUALITY BETWEEN MEN AND WOMEN

17/07/2008: The report on Equality Between Women and Men 2008 was adopted today by the Committee on Women's Rights and Gender Equality. The report reiterates the dual nature of gender mainstreaming at EU level, on the one hand ensuring equality between women and men in all policy areas and, on the other hand, targeted measures to curb discrimination against women. These measures include awareness-raising campaigns, the exchange of best practices, dialogues with citizens and public-private partnership initiatives.

EPP-ED Shadow Rapporteur, Marie Panayotopoulos - Cassiotou, stressed: The report gives special importance to combating violence against women and calls on the Member States and the Commission to take new adequate measures. It also considers that women's participation in decision-making at local, national and EU levels and in NGOs is insufficient and therefore asks for actions to improve the situation. The report also calls for measures to improve the situation of women in the labour market, the quality of employment, and the participation in lifelong programmes and pays special attention to disabled women, women with dependants, elderly women, minority and immigrant women.

The report draws attention to the feminisation of poverty, when women, especially elderly women and single mothers, are at risk of exclusion and poverty. Furthermore, it recognises the key role of reconciliation between work, private and family lives and asks for best practices for an effective work-life balance and greater involvement of men in family life. In this framework, the report calls on regional and local authorities to improve the quality and accessibility of child services and those responsible in companies to include workforce management plans to make it easier for employees to return to work after a career break.

Marie Panayotopoulos - Cassiotou MEP, concluded: "The Communication is quite declarative and repeats previous European engagements without real innovation. The increase of women in the labour market has not been accompanied by the expected rise in the quality of their activities. The EP calls on the Commission and the Member States to improve their access and participation, especially in sectors such as high-technology, research, science and engineering, in which they are under-represented. Appropriate measures should be undertaken in order to tackle stereotypes at all levels of education and employment. The increase of the quality of employment will be the result of lifelong learning and education programmes at every level. Social partners, civil society and media should help to raise awareness in this matter. Moreover, attention must be given to the situation of spouses helping in sectors such as agriculture, fisheries, the crafts industry, small family businesses and trade. Finally, the EP report underlines that the role of men is essential in the promotion of equality."

For further information:
Marie Panayotopoulos-Cassiotou MEP
Tel: +32-2-2847447 - Fax: +32-2-2849447

Notes to Editors:
The EPP-ED Group is the largest political group in the European Parliament with 288 Members from all 27 Member States.

REDUCED VAT RATES ON BABY DIAPERS

10/07/2008: "The Commission has fulfilled what it had promised us, but it is important to go further in helping families."

"It is good to see a happy ending to three years of work and continuous pressure on the responsible persons." This was the message today from José Ribeiro e Castro MEP and Marie Panayotopoulos-Cassioutou MEP, after receiving the Commission's official information on its proposal to change the Directive 2006/112/EC of the Council which will, among other things, solve the dispute on VAT rates for children's nappies.

The Intergroup of Family and Protection of Childhood, Presided by Mrs Panayotopoulos-Cassiotou and Mr Ribeiro e Castro, Vice-Chairman, has undertaken several initiatives aiming to show the public and the European Commission the unfairness of the different VAT rates on children's nappies.

"It is an absurd situation in that the Commission believes that adult incontinence protection can be subject to lower VAT rates but not children's nappies", reiterated Ribeiro e Castro and Panayotopoulos - Cassiotou. "This new proposal aims to correct this obvious anomaly."

Both parliamentarians agree that it is necessary to go further in the efforts not to penalise the inevitable expenditure made by families with children. "As we already proposed at European level a year ago, when celebrating the International Day of Family (15 May 2007), we believe that VAT rates should be lowered in child care products thus giving a positive sign to family and demography. The Commission's initiative is, in the Commission's own words, 'just a first step' addressing the 'urgent cases' and limited to 'technical drafting adaptations'", said the MEPs. "So, we are going to struggle for a more global review of this Directive. The Council has regrettably been quite late in giving the necessary guidance to this process of getting governments to treat families in a non-hostile way, especially where basic care for children is concerned. Governments should be accountable for this matter."

"We understand that the Commission cannot go further right now and it is crucially important that it can have the support of the 27 Member States for, at least, this limited package of technical adjustments. It would be positive that, within the legislative programme announced in 2008, the European Union, through the European Commission, might be able to effectively fulfil what it had publicly promised and announced on July 19 2006, in the framework of the requests for information to the European Commission sent to Czech Republic, Hungary, Malta, Poland and Portugal in the form of letters of formal notice to several Member States about their application of reduced VAT rates for children's nappies.

"It should also be taken into account the need to dissipate the doubts about reduced VAT rates on child car seats", as Ribeiro e Castro called to the Commission's attention some months ago.

"But it is incomprehensible that there is discrimination between the Member States in items such as children's clothing and shoes where the States apply different VAT rates. If the European Commission is about to solve the discrepancy between other areas (such as housing) it is incomprehensible that the difference is kept in Member States in such relevant products as children's clothing and shoes.

For further information:
Office of José Ribeiro e Castro MEP, Tel: +32-2-2845783
Office of Marie Panayotopoulos-Cassiotou MEP, Tel: +32-2-2845447

Notes to Editors:
The EPP-ED Group is the largest political group in the European Parliament with 288 Members from all 27 Member States.

COMBATING POVERTY AND SOCIAL EXCLUSION

17/06/2008: The majority of the European Parliament today adopted a report by Marie Panayotopoulos-Cassiotou MEP at first reading on '2010, the European Year for combating poverty and social exclusion'. The allocated budget - €17m - represents the highest budget ever granted to a European Year, thus demonstrating its high political importance.

The aim of the European Year is to reaffirm the Union's commitment to solidarity, social justice, greater cohesion, and to promote consistency as well as boosting support for the overarching objectives of the Union, by making a decisive impact on the eradication of poverty. Currently in the EU, almost 78m people are living at risk of poverty. The European Year should raise public awareness of poverty and exclusion in Europe as well as convey the message that poverty and exclusion are disruptive to social and economic development. Therefore the purpose of this proposal is to designate 2010 as the European Year for combating poverty and social exclusion.

Mrs Panayotopoulos-Cassiotou's report approves the content of the Commission's proposal and it introduces the following new elements:

  • Further develops the concept of multi-dimensional aspects of poverty and social exclusion by a more extensive definition of the groups concerned such as early school leavers and the long-term unemployed;
  • Calls for action to be coordinated and implemented at national, regional and local levels in order to reach the goals of the European Year;
  • Raises the question of access to and quality of education and lifelong learning, social protection systems and health services, housing, as well as active participation in political and cultural life;
  • Stresses a need for an efficient implementation of equal treatment and non-discrimination legislation;
  • Draws attention to the importance of ensuring children’s well-being and decent life conditions for all;
  • Calls for greater links to be established with previous European Years.
After the positive outcome of the vote, Mrs Panayotopoulos-Cassiotou said: "Thanks to the agreement between the EU institutions, we have achieved the goal of directly planning the European Year's activities. The EPP-ED Group, retaining solidarity as one of its main goals, is always encouraging adequate measures in order to promote more social cohesion."

It is also worth mentioning that in 2006, 16% (78m) of the total EU-25 population lived under the poverty threshold. In 2000, within the EU-25, about 40m people (9% of the total) were confronted with persistent poverty. In 2005, within the EU-25 19%, (19m) children were at risk of poverty. Although in most Member States the gender gap is decreasing, the gender gap is (in 2006) about 2 percent as regards poverty and persistent poverty.

For further information:
Marie Panayotopoulos-Cassiotou MEP
Tel: +32-2-2847447
Fax: +32-2-2849447
E-mail: marie.panayotopoulos-cassiotou@europarl.europa.eu

Notes to Editors:
The EPP-ED Group is the largest political group in the European Parliament with 288 Members from all 27 Member States.

BETTER OPPORTUNITIES FOR CHILDREN WITH DISABILITIES

11/06/2008: 'Chances for the healthy development of children - a European Challenge' is the topic of a hearing organised by Marie Panayotopoulos-Cassiotou MEP and Angelika Niebler MEP tomorrow, 12 June 2008, in the European Parliament.

Over 200 million children in the world suffer from disabilities. These children have the same rights as any other child. They and their families need the assistance of various specialists: physicians, psychologists, therapists, pedagogues, who should work closely together. Multi-sensory therapy and integrative education, which encompass medical, psychological and educational knowledge, and the needs of the child, are the basis for guaranteeing the rights of all children.

During the conference, renowned medical experts, researchers, and experts from the European Commission will exchange views on how to better address the problems of children with disabilities. This can be achieved in particular through the development of early diagnosis techniques and further research activities, measures for their full social and professional integration later in life, thus transforming the challenges they face into opportunities.

For further information:
Marie Panayotopoulos-Cassiotou MEP, Tel: +32-2-2847447
Angelika Niebler MEP, Tel: +32-2-2845390

Notes to Editors:
The EPP-ED Group is the largest political group in the European Parliament with 288 Members from all 27 Member States.

UN DEFI EUROPEEN: DIAGNOSTIQUER ET REEDUQUER LES TROUBLES NEUROLOGIQUES DES LA NAISSANCE ET LA PETITE ENFANCE

11/06/2008: Marie Panayotopoulos, Présidente de l'Intergroupe Famille du Parlement européen, et Angelikia Niebler, Présidente de la commission Industrie, Recherche et Energie (ITRE) du Parlement européen, ont souligné jeudi à Bruxelles la nécessité de diagnostiquer et rééduquer les troubles neurologiques dès la naissance et la petite enfance.

Ouvrant le colloque organisé par le Groupe du PPE-DE sur "Les possibilités d'un bon développement des enfants : un défi européen", Marie Panayotopoulos et Angelika Niebler ont rappelé les enjeux de ce problème, qui concerne 200 millions d'enfants dans le monde. Très souvent, si ces troubles sont dépistés dès la naissance et si des rééducations adéquates sont entreprises très tôt, ils peuvent disparaître ou, en tous cas, de ne plus constituer un handicap empêchant l'intégration scolaire puis sociale et professionnelle de ces enfants.

Marie Panayotopoulos a rappelé que le Parlement européen a adopté en 2007 une déclaration écrite (numéro 64) ayant recueilli les signatures de plus de 300 députés européens demandant l'amélioration du diagnostic précoce et de la prise en charge des enfants atteints de troubles "dys" (dyslexie, dyspraxie, dyscalculie, dysphasie et troubles de l'attention avec ou sans hyperactivité) dans tous les Etats membres de l'Union.
Les pratiques varient fortement d'un Etat membre à l'autre. Ces seuls troubles affectent, à des degrés divers, plus de 10 pc des enfants.

Le professeur Theodor Hellbrügge, fondateur d'un centre pédiatrique à Münich dont les techniques ont été reprises dans plusieurs pays européens et pionnier de la recherche médicale européenne en ce domaine, a exposé les orientations ayant guidé son travail : les enfants atteints de troubles neurologiques doivent pouvoir bénéficier extrêmement tôt d'une rééducation, sur le modèle de ce qui est réalisé pour des victimes d'accident, pour des sportifs ou des personnes âgées.

Il a souligné l'importance d'associer les parents, et notamment les mères, à ce processus de diagnostic et de rééducation car ce sont eux qui vivent quotidiennement avec leur enfant alors que les examens des pédiâtres sont très limités dans le temps.
"Les mères sont très souvent les premières à constater que leur enfant a un problème", a-t-il déclaré. Or ces problèmes sont trop souvent négligés dans la petite enfance. Constatés trop tard, ils empêcheront un développement harmonieux de l'enfant qui demeurera handicapé à vie. "La coopération des médecins avec les parents est essentielle", a-t-il poursuivi.
Son institut a été le premier à prôner cette coopération, accueillant les parents et leur enseignant les techniques qui leur permettront d'aider au quotidien leurs enfants.

Maria Drewniak, Directrice d'un centre spécialisé pour enfants traitant notamment les maladies neuromusculaires graves, Elisabeth Zabiegaj, Directrice d'une école maternelle à Cracovie, Gundega Tomele, orthophoniste dans une école à Liepaja en Lettonie et un fonctionnaire de la Direction Santé de la Commission européenne ont fait part de leur expérience en ce domaine.
Ce dernier a notamment conclu en rappelant l'importance d'une action précoce et la nécessaire mise en place par l'UE d'un paquet social rénové dans le but de mieux tenir compte des besoins des enfants. Pour la direction SANCO, il existe actuellement trois défis à relever : analyser les meilleurs moyens pour créer un environnement physique et social ; promouvoir la santé physique et mentale de l'enfant ; évaluer et diffuser les meilleures pratiques parmi les Etats membres.

Résumant les débats de la matinée, Marie Panayotopoulos et Angelika Niebler ont déclaré qu'il est nécessaire d'assurer aux enfants une autonomie et une participation active à la vie sociale. Pour ce faire les gouvernements doivent apporter leur soutien, la recherche doit être renforcée et des politiques prenant en compte le respect des droits des handicapés doivent être établies.

Pour toute information:
Marie Panayotopoulos, MdPE, Tél.:+32-2-2847447
Angelika Niebler, MdPE, Tél.: +32-2-2847390
Anne Vahl, Service de presse du Groupe PPE-DE, Tél.: +32-475-493354

Notes aux Editeurs:
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