16/01/2008: A l'occasion de l'adoption en session plénière du PE à Strasbourg du rapport relatif à la Stratégie de défense des droits de l'enfant en Europe et dans le monde, le co-rapporteur, Marie Panayotopoulos-Cassiotou a déclaré que les propositions du Parlement contribuent à la formulation d'une approche holistique et coordonnée. Le Traité modificatif, en association avec la Charte des droits fondamentaux, permettront d'accroître les possibilités d'actions européennes communes tant au sein qu'en dehors de l'Union en faveur de la protection des enfants et la promotion de leur bien-être.
La Stratégie devrait reposer sur la prise en compte de l'enfant non pas en tant que victime, mais en tant que personnalité indépendante détentrice de droits et d'obligations qui, en fonction de son de niveau de maturité, participe à la prise de décision.
Le bon développement des enfants requiert de l'affection et des soins de la part de la famille ainsi que la satisfaction de leurs besoins matériels et intellectuels dans un environnement naturel sain. La protection des mères constitue une condition préalable afin que les enfants puissent jouir de leurs droits avant la naissance et durant toute la période de leur développement. La conciliation de la vie professionnelle des parents avec leurs obligations familiales est un droit inaliénable des enfants et contribue à la création d'un capital inestimable et représente un investissement dans la société de demain.
"Alors que les droits de l'enfant sont violés dans plusieurs pays du monde, l'éradication de la pauvreté, la lutte contre les discriminations, la promotion de l'éducation et la sensibilisation de l'environnement familial peuvent permettre de mettre fin au cycle de violence et à l'élimination de toute forme d'exploitation à leur encontre. La députée a précisé qu'au sein de l'UE, on peut noter des progrès importants en matière de poursuites contre la pédophilie et la pédopornographie ainsi que l'exploitation sexuelle des enfants.
Un rapport d'évaluation récent de la Commission européenne (novembre 2007) démontre que la plupart des Etats membres ont adapté leur législation nationale conformément aux dispositions de la décision-cadre du Conseil de 2003. Le programme DAPHNE III (Juin 2007) relatif à la lutte contre la violence à l'encontre des femmes, des enfants et des jeunes, finance des Organisations Non Gouvernementales et promeut l'échange des bonnes pratiques. La création de médiateurs dans tous les Etats membres et leur mise en réseau au niveau européen va contribuer de manière significative à l'efficacité de la protection des enfants en Europe.
Enfin, Marie Panayotopoulos-Cassiotou a mentionné que les actions européennes, assorties à la volonté politique des Etats membres et à la participation active des citoyens, donnent la possibilité de tirer profit de la législation existante et répondent aux besoins urgents de protection des enfants qui requièrent une prise en compte horizontale dans toutes les politiques. Malgré l'augmentation des risques, la législation hellénique et les actions coordonnées des organes étatiques ont démontré leur efficacité pour la protection des droits des enfants dans notre pays. Les efforts doivent bien sûr être accentués en particulier pour les enfants issus de groupes sociaux vulnérables.
La Stratégie devrait reposer sur la prise en compte de l'enfant non pas en tant que victime, mais en tant que personnalité indépendante détentrice de droits et d'obligations qui, en fonction de son de niveau de maturité, participe à la prise de décision.
Le bon développement des enfants requiert de l'affection et des soins de la part de la famille ainsi que la satisfaction de leurs besoins matériels et intellectuels dans un environnement naturel sain. La protection des mères constitue une condition préalable afin que les enfants puissent jouir de leurs droits avant la naissance et durant toute la période de leur développement. La conciliation de la vie professionnelle des parents avec leurs obligations familiales est un droit inaliénable des enfants et contribue à la création d'un capital inestimable et représente un investissement dans la société de demain.
"Alors que les droits de l'enfant sont violés dans plusieurs pays du monde, l'éradication de la pauvreté, la lutte contre les discriminations, la promotion de l'éducation et la sensibilisation de l'environnement familial peuvent permettre de mettre fin au cycle de violence et à l'élimination de toute forme d'exploitation à leur encontre. La députée a précisé qu'au sein de l'UE, on peut noter des progrès importants en matière de poursuites contre la pédophilie et la pédopornographie ainsi que l'exploitation sexuelle des enfants.
Un rapport d'évaluation récent de la Commission européenne (novembre 2007) démontre que la plupart des Etats membres ont adapté leur législation nationale conformément aux dispositions de la décision-cadre du Conseil de 2003. Le programme DAPHNE III (Juin 2007) relatif à la lutte contre la violence à l'encontre des femmes, des enfants et des jeunes, finance des Organisations Non Gouvernementales et promeut l'échange des bonnes pratiques. La création de médiateurs dans tous les Etats membres et leur mise en réseau au niveau européen va contribuer de manière significative à l'efficacité de la protection des enfants en Europe.
Enfin, Marie Panayotopoulos-Cassiotou a mentionné que les actions européennes, assorties à la volonté politique des Etats membres et à la participation active des citoyens, donnent la possibilité de tirer profit de la législation existante et répondent aux besoins urgents de protection des enfants qui requièrent une prise en compte horizontale dans toutes les politiques. Malgré l'augmentation des risques, la législation hellénique et les actions coordonnées des organes étatiques ont démontré leur efficacité pour la protection des droits des enfants dans notre pays. Les efforts doivent bien sûr être accentués en particulier pour les enfants issus de groupes sociaux vulnérables.