13/03/2007: Présenté lors de la session plénière du PE à Strasbourg, le rapport relatif à la "Responsabilité Sociale des Entreprises: un nouveau partenariat" a incorporé dans leur grande majorité les propositions de la Commission des droits de la Femme et de l'Egalité des genres visant à promouvoir des actions de consolidation de l'égalité et de l'esprit d'entreprise, et dont le rapporteur était Mme Panayotopoulos-Cassiotou.
A l'occasion du débat, la députée a souligné que la RSE, bien qu'elle ne puisse en aucun cas remplacer l'action et la responsabilité des pouvoirs publics, incluait des aspects relatifs aux nécessités sociales, éducatives et environnementales. Contrairement au rapporteur M. Howitt, Mme Panayotopoulos a rappelé que le succès de la RSE, tant auprès des PME que des multinationales, reposait sur son caractère volontaire et non contraignant pour les entreprises. Par conséquent, toute action visant à rendre la RSE obligatoire, y compris en ce qui concerne la présentation de rapports d'évaluation, serait contre-productive et incompatible avec les efforts de l'UE en faveur de la simplification et de l'amélioration de la législation et du cadre réglementaire.
Elle a précisé qu'une RSE volontairement établie pouvait aider substantiellement à faire face aux défis de la mondialisation et à la préservation du modèle social européen fondé sur la non discrimination, l'égalité des chances pour tous, l'inclusion sociale, une qualité de vie élevée, notamment par la meilleure conciliation de la vie professionnelle et de la vie familiale, et un environnement sain.
En adoptant la RSE, les entreprises contribuent à l’idéal de prospérité, de solidarité et de sécurité à long terme que poursuit l’Union Européenne et promeuvent, où qu'elles exercent leurs activités, les valeurs européennes et les normes et principes reconnus et agrées par l'OIT.
A l'issue de son intervention, Mme Panayotopoulos-Cassiotou a souligné que la proposition de création d'une nouvelle Alliance européenne pour la RSE devrait contribuer au renforcement de la responsabilité sociale, économique et environnementale des entreprises.
A l'occasion du débat, la députée a souligné que la RSE, bien qu'elle ne puisse en aucun cas remplacer l'action et la responsabilité des pouvoirs publics, incluait des aspects relatifs aux nécessités sociales, éducatives et environnementales. Contrairement au rapporteur M. Howitt, Mme Panayotopoulos a rappelé que le succès de la RSE, tant auprès des PME que des multinationales, reposait sur son caractère volontaire et non contraignant pour les entreprises. Par conséquent, toute action visant à rendre la RSE obligatoire, y compris en ce qui concerne la présentation de rapports d'évaluation, serait contre-productive et incompatible avec les efforts de l'UE en faveur de la simplification et de l'amélioration de la législation et du cadre réglementaire.
Elle a précisé qu'une RSE volontairement établie pouvait aider substantiellement à faire face aux défis de la mondialisation et à la préservation du modèle social européen fondé sur la non discrimination, l'égalité des chances pour tous, l'inclusion sociale, une qualité de vie élevée, notamment par la meilleure conciliation de la vie professionnelle et de la vie familiale, et un environnement sain.
En adoptant la RSE, les entreprises contribuent à l’idéal de prospérité, de solidarité et de sécurité à long terme que poursuit l’Union Européenne et promeuvent, où qu'elles exercent leurs activités, les valeurs européennes et les normes et principes reconnus et agrées par l'OIT.
A l'issue de son intervention, Mme Panayotopoulos-Cassiotou a souligné que la proposition de création d'une nouvelle Alliance européenne pour la RSE devrait contribuer au renforcement de la responsabilité sociale, économique et environnementale des entreprises.